Dans l'opinion publique, le mal est déjà fait. Il sera intéressant de suivre comment les banques vont reprendre la parole après un tel jeu de massacre.
D'autant que le désintérêt des consommateurs pour la publicité traditionnelle s'accroit. Il faudra autre chose que le discours habituellement ronflant des marques pour regagner la confiance des clients. L'heure est à la transparence, à la construction du dialogue avec les consommateurs. Les banquiers vont-ils enfin s'intéresser au web 2.0 ? Quelques signaux faibles l'indiquent ici et là. A suivre...