Les révélations d’un ancien collaborateur du préfet Erignac, laissant entendre que deux de ses meurtriers présumés seraient toujours dans la nature, provoquent une onde de choc et l’incertitude quant à la poursuite à partir de lundi du procès en appel d’Yvan Colonna.Le procès devant une cour d’assises spécialement constituée de magistrats professionnels doit reprendre lundi à partir de 10H00 avec l’audition des témoins oculaires de l’assassinat de Claude Erignac, le 6 février 1998 à proximité du théâtre Kallisté à Ajaccio.
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