"Nous étions de vrais amateurs. Nous payions nos équipements et nous nous cotisons pour les voyages. Un jour, nous allions jouer à Bordeaux. A l'aller, le dimanche matin, nous nous sommes arrêtés à Libourne, et là, en accord avec le club local, nous avons donné une séance d'athlétisme, payante évidemment, pour diminuer les frais de voyage. Avant le match de l'après-midi donc, nous avons couru un cent mètres (sur une petite place autour d'une statue), un 400 mètres et une course de fond. Cela payait surtout le (...)