D’où ce passé l’autre est mémoire
elle s’est laissée ivre continuer
par là chacun de mes pas la main dans la courbe
J’ai du mal à continuer
l’odeur suit mal la découverte et le mensonge
la sueur le silence tout encolle la toile
Sur le mur la chanson pleine de fleurs
de quoi faire plisser tes yeux rieurs
D’où ce futur couvrir l’avenir
te voir revenir
te battre pour un souffle
te relever faut t’agripper jusqu’au vent la banquise
et comme le temps qui entonne jusqu’à ce que tu sentes
le vif ou le vain s’engouffrer entre tes doigts
éreintée presque étreinte éteinte à presque serrée
Isa Bercée s’endort et puise un rêve pour tout redécorer.