Le Parti Socialiste était dans tous ses états, hier. La note parue ici a semé le trouble et suscité des questions. Des responsables au plus haut niveau, tel le responsable départemental de "Désirs d'Avenir" ont voulu "savoir" et questionné le Premier Secrétaire Fédéral. Au final, Gérard Contremoulin a été obligé de se fendre d'un communiqué, diffusé dans la quasi-confidentialité. Dans son texte, il tourne en rond et tergiverse. Il pointe du doigt le journaliste, trublion de "presse people", empêcheur de comploter en rond. Voici la prose: Je ne suis pas pas journaliste, mais j'ai appris que la déontologie de ce métier commande de choisir ses sources avec une certaine expertise et d'éviter de publier une information sans l'avoir vérifiée". Astuce. Monsieur Contremoulin à aucun moment ne dément le contenu de l'information. Son reproche est basé sur "le choix des sources". Il voudrait savoir qui "ose", à la Fédération, "parler" à des journalistes. Que je sache, dans mes sources (quatre au total) il y a madame Picard, la principale concernée. Elle confirme la création d'une section locale PS dans l'agglomération de Vernon et d'expliquer les motifs, sans ambages. Gérard Contremoulin ne fait que protester de la divulgation de l'information, mais ne la dément pas. Alors, où est le problème?