C’est qui cette jeune femme?
Iwiyisi, 33 ans, est une prostituée vendant ses charmes à Lyon.
Comment a t-elle disparu?
Elle a été vue pour la dernière fois dans la nuit du jeudi 5 février, dans le quartier du Confluent à Lyon 2e.
Vers 4 heures du matin, elle a été embarquée par un client, à bord d’une voiture sombre.
Les rares témoins sont des jeunes femmes de nationalité nigériane partagent la même activité.
Elle a peut-être décidé d’arrêter?
Non, à priori, ces jeunes femmes veillent les unes sur les autres.
Elles se connaissent toutes et s’appellent fréquemment.
Elles n’ont pas eu peur de contacter la Police?
Si, énormément, ce qui en dit long sur l’inquiétude qu’elles éprouvent face à la disparition de leur amie.
Que fait justement la Police?
Le parquet de Lyon a diligenté des recherches, confiées à la brigade des moeurs de la Sûreté départementale, qui connaît parfaitement les rouages de la prostitution lyonnaise.
Des indices?
Rien, mis à part le fait que le téléphone portable de la jeune femme a activé une borne le lendemain dans le quartier de Château-Gaillard à Villeurbanne.
Les Moeurs ont entrepris une série d’auditions, à la recherche du moindre élément.
Qu’en pensent-ils?
Un enquêteur a déclaré au Dauphiné Libéré :« Cette absence prolongée ne dit rien de bon ».
Merci au Dauphiné
Libéré pour cet appel à témoins.
APPEL À TÉMOINS
La nuit de sa disparition, la jeune femme portant une perruque aux longs cheveux noirs ondulés et un sac à main noir aux trois zips, était vêtue d’un blouson court bleu foncé au col beige, d’une robe courte en laine blanche, de collants noirs et de grandes bottes blanches. Toute personne susceptible d’orienter les recherches peut prendre contact avec les services de la Sûreté : 04 78 38 79 20.
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LES COMMENTAIRES (1)
posté le 25 mars à 10:00
article de ChicTyp : continuez svp,informez, tenez la jambe à la Sureté, ça pleure dans la Communauité de la jeune femme, de plus ce n'est pas exactement son métier , mais un salaire "d'appoint necessaire en France"(en Espagne elles vendent sur les marchés), en attendant de meilleures réponses par les prefectures et Ofpra , pour les aider à avoir un carton jaune de séjour ou de refugiée , qui mene au travail,(on n'en est pas aux etoiles jaunes, mais si on le pouvait ON L'AURAIT DEJA FAIT).Merci.