De Los Angeles à Paris, je perds vingt degrés et j'ai des nuages. Retour au bercaille où les gens paraissent moins affectifs mais plus vifs (dis dont, c'est qu'ils roulent vite dans leurs petites voitures).
C'est dur... Tout parait chétif et étriqué. C'est plus monotone aussi. Cela doit être dû aux vacances mais c'est vraiment différent. Cela risque de prendre un certain temps avant de reprendre un rythme normal.
"Oui mais là bas c'était comment ßertrand ?"
Oh ! Tu sais, la Californie, c'est juste génial : -)
Peut-être quelques explications et des photos sous peu si la flemme ne m'emporte pas...