Les juges d’appel d’Yvan Colonna ont entamé mercredi l’examen des crimes qui lui sont reprochés en se penchant sur l’attaque de la gendarmerie de Pietrosella (Corse-du-Sud), en septembre 1997, une des premières actions revendiquées par le groupe dit des “anonymes”.C’est au cours de cette attaque à l’explosif, doublée de la brève prise en otage de deux gendarmes, qu’avait été dérobée l’arme utilisée le 6 février 1998 à Ajaccio pour abattre le préfet de Corse Claude Erignac.
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