La déraison l'emporte, finies les émotions,
Jusque devant la porte, et deaant la maison,
Sentir qu'on est mal, et jusqu'au déplaisir,
Regarder l'autre et le voir souffrir!
J'ai trop vécu de guerres our perdre ainsi la face,
je préfère au miel le mépris de l'audace,
et je me désespère de te voir effondrée,
J'aurais voulu te plaire mais là en vérité,
je trouve cet endroit peu propice aux menaces,
tes mots me laissent froid, mais je suis de la race,
de ceux pour qui la vie est exempt d'orgueil
et moi je combattrais jusque ma vie le veuille!
si tu baisses les bras c'est là que tu m'agaces,
s'il faut un combattant il faut que je le fasse.
je suis triste de voir comment de guerre lasse,
tu abandonnes ainsi ! et les jours qui passent
sont à jamais perdus pour notre devenir;
je veux te voir vivre et retrouver sourire.
Allume donc le feu d'étés de l'océan,
je viendrais te rejoindre pour fêter l'instant!