Après une journée de mobilisation réussie des enseignants-chercheurs, Valérie Pécresse tente mercredi de désamorcer la crise en recevant une bonne partie de la communauté universitaire, tandis qu’une coordination nationale des universités se réunit sur les suites du mouvement.En fin d’après-midi, la ministre de l’Enseignement supérieur reçoit, en même temps, la conférence des présidents d’université (CPU), les doyens et les syndicats représentatifs ayant accepté l’invitation (Sgen-CFDT, Unsa-Education, AutonomeSup), hormis le Snesup-FSU, premier syndicat, qui boycotte la rencontre.
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