Le procureur a accusé mercredi l’Etat français d’avoir pratiqué une politique du “laisser-faire” à l’égard du “trafic” d’armes de guerre vers l’Angola orchestré dans les années 90 par Pierre Falcone et Arcadi Gaydamak.”Les raisons véritables de ce laisser-faire, elles sont à chercher dans les intérêts économiques et stratégiques qui apparaissent en filigrane”, a lancé Romain Victor, en ouvrant ses réquisitions qui devaient durer toute la journée.
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