Ce matin, la République du Centre publie un "commentaire" du journaliste Denis Léger intitulé "La liberté de la presse à la poubelle".
Que penser de l'information comme quoi l'AgglO avait, suite au conflit des éboueurs, gelé le budget com' attribué à la Rep' ? Denis Léger dit que "l'AgglO est bien sûr libre
d'utiliser son budget com' comme elle l'entend", certe. Mais le "soucis", c'est que ce budget de "notre" AgglO est établie avec de l'argent publique, par le biais de nos impôts. L'AgglO doit donc
rendre des comptes aux contribuables que nous sommes, et communiquer le "pourquoi du comment" de tel ou tel budget.
On voit bien que dans cette affaire, nos impôts semblent être utilisés pour un "règlement de compte" entre un média qui veut faire son boulot et une collectivité locale
complètement dépassée par les évènements.
Après certains blogueurs (à un niveau et pour des faits différents), c'est donc la presse locale qui est
attaquée dans notre chère AgglO orléanaise pour avoir simplement relaté des faits. Tout le monde est content de voir de nouveau les poubelles ramassées dans les rues d'Orléans,
mais certainement pas d'y trouver la liberté de la presse.
Sources : La Rep' du 11 février 2009