Principales revendications du mouvement :
le retrait du projet de décret du statut des enseignants- chercheurs.
Conséquence de la loi sur l’autonomie des universités, ce décret donne plus de pouvoirs aux présidents sur la modulation du temps de travail des personnels entre enseignement, recherche et tâches administratives, et en retire au Conseil national des universités (CNU) en ce qui concerne les promotions. Il entérine aussi la suppression de la réforme de la formation des enseignants du primaire et du secondaire, qui remet en cause l’existence même des IUFM.
La coordination nationale des universités appelle à une manifestation nationale le 10 février.