Les syndicats ont arrêté lundi le principe d’une deuxième journée d’action interprofessionnelle le 19 mars, après la puissante mobilisation du 29 janvier, afin de peser sur le “sommet social” à l’Elysée le 18 février et infléchir la politique gouvernementale sur le pouvoir d’achat et le chômage.Les huit confédérations, CGT, CFDT, FO, CFTC, CFE-CGC, FSU, Unsa et Solidaires, qui avaient appelé à la journée d’action du 29 janvier, marquée par des manifestations massives (entre un et 2,5 million de personnes, selon les sources) ont maintenu leur unité au cours d’une réunion de trois heures au siège du SNES-FSU.
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