Nicolas Sarkozy a essayé d'imposer son tempo aux syndicats et aux salariés suite à la grève générale du 29 janvier. Il a joué habilement le coup en donnant rendez-vous aux syndicats le 18 février. L'opinion n'a pas été dupe: son image s'est fortement détériorée ces derniers jours malgré la manipulation médiatique orchestrée par le Figaro à son égard. Il semble qu'une partie de son électorat fidèle est en train de le lâcher.
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