Le hasard fait parfois mal les choses. Une seconde perdue à vérifier si l’on a ses clés, et l’on se retrouve embourbé dans une déjection canine.
C’est ce que s’est dit – ou presque – Alain Didier-Weill, psychanalyste et auteur, dans sa pièce Vienne 1913. Deux jeunes hommes s’y confrontent, un artiste raté, et un jeune bourgeois soumis aux traitements freudiens pour cause de pulsions antisémites. Contrairement à toute attente, c’est le premier qui s’accomplira le plus dans sa vie professionnelle en exerçant le métier de dictateur allemand. Comme quoi, ça tient à rien.
Compagnie Influenscènes, m.s. Jean-Luc Paliès, Théâtre Quartier Libre (Ancenis), mardi 24 fév. à 20h30. T. 02 51 14 17 17
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