Dom.A est le vainqueur d’aujourd’hui et sans la moindre hésitation.
Mais Nathalie H (le tout nouveau blog qui monte, qui monte, en nous parlant du livre), Claudialucia (dont la préoccupation littéraire du jour rejoint l’aire géographique de notre propre thème), Kiki de chez Posuto deux ( un transfert que vous avez déjà probablement suivi sans attendre), ont approuvé immédiatement.
Totem , pour une fois, est passé à coté et Jeandler est arrivé trop tard. Sans compter Elisabeth, prête de bonne heure, depuis la Nouvelle Zélande, mais n’ayant pas la moindre idée aujourd’hui…Merci à tous pour cette visite du samedi, visiteurs réguliers ou occasionnels de ce blog. Et pardonnez-moi pour la non-exhaustivité. (Je squatte honteusement l’unique ordinateur de l’hotel mis à disposition des clients et j’ai peur de provoquer une émeute..)
Depuis mes pérégrinations asiatiques, ce n’est pas toujours facile de trouver le cyber disponible (nous sommes actuellement a Malacca, en Malaisie), mais j’essaie coûte que coûte d’être au rendez-vous.
C’est bien la moindre des politesses à rendre à la fidélité de tous les amis de ce blog.
Alessandro Barrico, écrivain piémontais, n’hésite pas à partager son art. Il a créé en effet à Turin, une école consacrée à l’écriture. Mais il est aussi (et peut-être surtout) un savant musicologue. Son ouvrage sur l’art de la fugue chez Rossini, entre autres, fait en effet référence.
Mais sa passion pour la musique est transposée tout entière dans son oeuvre littéraire. Le livre qui l’a rendu mondialement célèbre est bien entendu: “Soie”
“L’histoire est simple. Un marchand fait des aller-retours au Japon pour en ramener des vers à soie. Au Japon, il rencontre une femme. C’est tout…
…Pas de vagues réminiscences à la Proust, pas de liens diffus. De la brute répétition. Et chaque voyage devient un éternel recommencement, comme une roue ovale, qui tourne, un temps rapide, un temps lent. Mais on lit ces passages “copiés-collés” avec attention, cherchant la différence. Et on la trouve, toujours la même ! Bref, lisez ce roman. Lisez-le chez Albin-Michel. L’édition est belle, la couverture elle-même donne un toucher de soie… “
D’apres la critique de ce site