Bien sûr qu’il faut voter « non » à l’extension des bilatérales et de la libre circulation des personnes à la Roumanie et à la Bulgarie car de tout façon le résultat du vote ne changera rien. Inutile donc de craindre les conséquences d’un éventuel refus car il n’en serait simplement pas tenu compte et ça ne changerait rien à la dynamique dans laquelle la Suisse et les autres pays européens sont engagés.
Voter non, c’est simplement s’accorder un des derniers plaisirs qui nous restent, et sans doute plus pour longtemps, celui de dire MERDE ! à tout l’establishment. On aurait tort de se gêner.