Après l’irrationalité délirante des marchés financiers, s’amorce la phase du protectionnisme à tout crin défendu par les pouvoirs en place pour caresser dans le bon sens des populations excédées.
Opportunité de relocaliser l’économie pour éviter l’absurdité de déplacements de marchandises pouvant être produites sur place ou réflexe dangereux qui réduira d’autant la perspective de développement des pays tournés vers eux-mêmes ?
La certitude : la paupérisation de citoyens ne pourra qu’exacerber la haine de l’autre, celui qui viendrait piquer l’emploi aux gens du cru. Le nationalisme social surgira ainsi avec une vigueur décuplée, même si ses perspectives ne sont qu’à courte vue.