Nicolas Sarkozy avait convoqué la presse à son domicile hier soir. Les journalistes sont arrivés à bon port. Nicolas Beytout n'était pas invité, la ficelle aurait peut être été un peu grosse. Ce dernier a donc préféré commenter le discours du président sur France2.
Bref, mis à part Duhamel sursautant sur sa chaise car trop emplis de lui-même, les journalistes-tronc ont tenté de sortir du cadre dans lequel ils avaient été placés. Peines perdues, Nicolas Sarkozy a allié le bâton et la carotte, comme à son habitude, pour faire taire ces bons-élèves indisciplinés. Le maitre des cérémonies a bien réussi à les maintenir dans le rôle qui leur était attribué.
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