Après une parenthèse de 18 mois, Nicolas V., pilote de Super Etendard, a ressenti “une légère appréhension” en posant de nouveau son chasseur sur la piste étroite du Charles de Gaulle.Comme les 1.500 autres marins et aviateurs du bord, il doit encore retrouver ses repères sur l’unique porte-avions français, qui a repris la mer début novembre après sa première grande révision et le renouvellement du combustible de ses deux réacteurs nucléaires.
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