Agnus Dei,
ou la version chorale de l'Adagio pour cordes de Samuel Barber.
Nous serons bientôt le 21 février,
et cela fera deux ans que tu nous auras quittés, que tu m'as quitté, hélas, sur un non-dit, sur un silence.
Que reste-t-il de toi dans la mémoire de ceux qui ont eu le bonheur et le privilège de te connaitre, celui de te fréquenter ?
Peu de chose, et peut-être même rien.
Mais c'est logique.
En revanche, tu continues à vivre dans mes rêves, dans mon âme, dans mes souvenirs, tu es toujours bien vivant.
Et cela me suffit. Au revoir, mon Ami.