Le tribunal de l’application des peines de Paris, seul compétent en matière de terrorisme, a rejeté mercredi une demande de libération conditionnelle du cofondateur d’Action directe (AD) Jean-Marc Rouillan, jugeant cette requête “illégale”, a-t-on appris de source judiciaire.A la suite d’un entretien controversé à L’Express, cette figure emblématique de l’ancien mouvement armé d’extrême gauche s’était vu retirer en octobre 2008 la semi-liberté dont il bénéficiait depuis décembre 2007.
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