Dans la lignée du très surestimé Estevan
Oriol (j'adore être péremptoire, ça me donne l'impression d'avoir des convictions) on trouve Greg
Bojorquez, autre photographe de la street culture latine à Los Angeles. Il y a dans ses images ce petit rien d'humanité en plus qui manque à Oriol, trop esthète et fascinné par par la
violence latente de son monde d'extraction. Bolorquez semble porter en lui la vie des barios telle qu'elle est. Avec sa dureté, sa tendresse, ses deuils et ses joies.
Note. Ces images sont des photos de l'expo de Greg Bojorquez qui se déroule en ce moment à la 01 gallery. - non je n'y étais pas c'est aux USA et le Web c'est pas fait pour les chiens et j'ai autre chose à faire que m'astiquer sur des photos de
gangsters ultraviolents en compagnie de bourgeois cools en streetwear hors de prix - prises par la démente et sublime Ashley Blue, seule pornstar au monde que je trouve vraiment, mais alors vraiment, désirable.