Le rythme des billets sur ce blog s’est ralenti considérablement. On m’a appris que quand on n’a rien à dire, il faut fermer sa gueule. Donc, c’est que je n’ai rien à dire. Il s’avère que je ne suis pas seule dans ce cas, car en me promenant sur des blogs amis, j’ai pu constater ici, là ou encore là que beaucoup souffrent de ce que certains appellent la lassitude, d’autres le manque de nécessité, ou encore incriminent une certaine saturation. Je pourrais ajouter à ces multiples causes, la paresse bien sûr, et aussi en ce qui me concerne la retenue vis à vis d’un environnement politique et social qui risque de me faire tomber dans le radotage. Les sujets de colère sont tous les jours plus nombreux, et envahiraient systématiquement ces lignes. Alors, la retenue appelant le silence, les pages s’espacent dans le temps.
Puisque j’ai ouvert ma gueule, je voudrais quand même signaler deux ou trois sujets d’énervement : 1, 2, 3…
Et j’arrête là, car la liste serait infinie.
Donc, contrairement à ce qu’on m’a enseigné quand j’étais enfant, ce n’est pas parce que je n’ai rien à dire que je ferme ma gueule.
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