Une pétition pour affirmer notre attachement au Département

Publié le 03 février 2009 par Jean-Robert Bos

Une pétition pour affirmer notre attachement au Département 

« Le temps presse ;     l’heure est grave et l’immobilisme ne peut être     de mise ».    
    C’est par ces mots que le Président Philippe Madrelle     a souhaité introduire l’appel lancé à tous     les Girondins pour qu’ils manifestent publiquement leur     attachement à la collectivité     départementale.

   

Il est en effet     important d'être très vigilant sur les suites qui     pourraient être données aux conclusions du     "Comité pour la réforme des collectivités     locales" ou Commission Balladur.

   

Les onze membres de ce Comité     doivent remettre leurs propositions au Président de la     République à la fin de ce mois et plusieurs     éléments sont de nature à inquiéter tous     ceux qui sont attachés à l’institution     départementale et savent le rôle essentiel joué     par les Conseils Généraux.

   

Une large mobilisation est     nécessaire

   

Le Président Philippe Madrelle a     donc souhaité proposer à tous les     Girondins,     élus et citoyens, de se     mobiliser pour apporter leur soutien à la défense du     Département en remplissant, avant ce 7     février, une pétition en ligne.

   

Il vous est naturellement     proposé de remplir cette pétition. Nous     sommes, en effet, tous très directement     concernés.

   

>> Cliquer ici.

           

    Cette pétition est également en ligne sur le site     Internet du Conseil Général (http://www.gironde.fr).    
    En seulement 2 jours de présence, elle a déjà     recueilli près de 500 signatures.

   

N’hésitez pas à     parler de cette action autour de vous pour que le mouvement     d’opinion puisse être le plus large     possible.

   

Il en va de la future identité de nos     Départements.

   
                                                    

Rappel : cette           pétition doit être remplie          
           avant ce samedi 7 févier.

   

    >> Cliquer ici pour consulter    
     l’intégralité du texte de Philippe Madrelle.