Le choix de la multiplication des opérations n'impacte guère un plan de relance qui paraît tardif.
Barack Obama s'approche de la barre des 1 000 milliards. La France retient celle des ... 1 000 projets.
Il s'agit en réalité de l'accélération de dossiers déjà programmés.
Le dispositif ne parvient pas à convaincre ce d'autant plus plus qu'il tombe en même temps que les statistiques du chômage, les précautions pour le 1er semestre 2009 et l'attente de l'explication du Chef de l'Etat fixée à jeudi.