Révision des 10 000.

Soit.
Imaginons.

Prenons l'hypothèse où par exemple, vous n'êtes pas heureux (ça peut arriver à tout le monde, hein), vous êtes même à cran, vénère, sous pression. La preuve, tous les deux trois jours, vous piquez une crise de colère ou une crise de larmes (si vous êtes une fille^^) pour un truc chiant mais bête, qui ne devrait pas vous affecter autant.

Mais, (bien sûr), ce n'est pas de votre faute, ce sont les circonstances extérieures sur lesquelles vous ne pouvez rien, ou presque rien, qui vous rendent malheureux/se ou colérique.

Par circonstances extérieures, j'entends:

- vous vivez bien mais chez vos parents car vous ne gagnez pas assez, et ça vous tape sur le système
- vos voisins sont supra lourds et vous gâchent la vie
- l'ex de votre mari vous fait piquer des crises de colère toutes les semaines
- vos enfants sont en pleine crise d'adolescence,
- ou le plus jeune en pleine crise de jmerouleparterreausupermarché
- vous avez beau bosser, vous n'avez pas de promotion, vous avez développé une allergie à votre chef
- votre femme vous a poussé à bout avec les réunions de famille du dimanche
- votre appart est trop petit, y'a plus de place pour rien, vous étouffez
- les enfants du deuxième mariage de votre troisième mari vous stressent à mort

etc etc

bref, à moins de tuer tous ces gens là, ce qui ne serait pas très raisonnable, vous ne pouvez pas changer ces conditions extérieures, ou disons que vous n'avez pas trop de latitude... il faut faire avec... sauf que là, vous pétez un cable.... alors?.... Que faire, diantre... il faut bien changer quelque chose, puisque vous ne pouvez plus tenir comme ça à bout de nerfs....

Et bien mes amis, pour avoir bien réfléchi à la question, je vous le dit tout net: si vous ne pouvez pas changer les conditions extérieures qui vous vénèrent (ce qui est la solution première, plus rapide, et applicable dans un bon nombre de cas, mais pas tous), vous devez changer les conditions intérieures: vous même.

C'est à vous de changer.

De vous calmer, d'apprendre à être zen, de vous réconcilier avec ce que vous prenez pour le moment comme des agressions extérieures.

C'est votre approche qui doit changer, puisque le reste ne changera pas...

Fastoche, hein...;)

Allez, au boulot.

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