Après les drames survenus dans des hôpitaux en décembre dernier, la ministre de la santé, Roselyne Bachelot, annoncé, pour tenir compte des critiques émises par certain syndicats, des mesures pour réduire le risque d’erreur dans l’administration des médicaments, en tirant toutes les enseignements de ces tragédies.
Plusieurs enquêtes de l’Inspection générales des affaires sociales, l’IGAS sont actuellement en cours à cet effet, mais la ministre compte d’ores et déjà en tirer les premiers enseignements, sans en attendre les conclusions.
Il s’y greffe une autre polémique, celle né du décès d’un homme de 57 ans d’un problème cardiaque, relative à la difficulté de connaître les places disponibles à chaque instant dans les services de réanimation, ce qui exige, selon la ministre, la modernisation du service de régulation.