Malgré les systèmes d’effarouchement existants, pour faire fuir les oiseaux autour des aérodromes par tir de fusées détonantes, de torches laser ou encore d’imitation de cris de détresse, on compte 800 incidents en France entre avions et oiseaux, heureusement moins lourds de conséquence que ceux évités de justesse au décollage d’un Airbus A 320 de La Guardia à New York.
La Direction de l’aviation civile lance une grande étude sur trois ans pour embarquer des systèmes d’effarouchement à bord même des avions, alors que la probabilité que deux moteurs soient détruits en même temps par de grands oiseaux, comme cela vient de se produire au-dessus de La Guardia, était estime de un sur un milliard de vols.
Actuellement, les constructeurs sont soumis à une réglementation de plus en plus stricte, non pas pour éviter les impacts avec les oiseaux, mais pour pouvoir y résister.