Mais l’essentiel est peut-être encore ailleurs, et pourrait bien se trouver dans toutes ces noms et appellations inconnues ou presque, qui composent la programmation, dans cette émulation d’artistes têtes chercheuses, préoccupés par la rencontre entre les arts (vidéo, arts numériques, musique, danse, etc.). Parce que Scopitone a un temps d’avance, il pose des questions, il propose des créations, il a les idées larges, il est dans l’air du temps sans tomber dans le fléau de la « tendance », il est un précieux catalyseur des formidables possibilités artistiques qu’offrent les nouvelles technologies.
Bref, Scopitone is not dead. Et ça fait du bien.