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Le stress en selle: des solutions très personnelles

Publié le 02 février 2009 par Pierreristic

Apparemment c’est quelque chose que nous connaissons tous, à un moment de notre parcours équestre et ce quelque soit notre niveau ou celui du cheval. Les circonstances en semblent assez variées également, jour de concours, remise en selle après une chute…..

Certains opteront pour le “je remonterai quand je serai prêt” et pour d’autres l’envie ou la passion est la plus forte même si l’appréhension reste très présente. Comment faire pour surmonter celle ci?

  • Nous savons qu’il existe les stages de remise en confiance, ou tout simplement prendre des cours particulier avec un bon prof et un gentil cheval peu suffire.
  • Nous avons aussi l’option pour se détendre de l’homéopathique, tel l’Euphytose ou encore la Fleur de back qui n’aura pas d’effet soporifique mais juste permettra une détente, une relaxation.
  • Qui n’a pas eu le conseil de boire un coup avant de monter en selle De nombreux cavaliers avouent très bien monter un peu éméchés, je n’ai pas dit ivre mort mais juste “gais”. Ce n’est personnellement pas l’option que je choisirai, j’aurai trop peur que mes petites compétences chèrement si acquises n’en prennent un coup dans l’aile. Mythe ou réalité, en tous cas c’est un combine qui circule beaucoup dans le milieu équestre.
  • et pourquoi pas l’hypnose ou encore l’acupuncture

fleur-de-bach-presentoir Le stress en selle: des solutions très personnelles
Que dire alors des anxiolitiques, les vrais? Certes tout le monde ne réagit pas de la même façon à la prise de ces médicaments, alors que certains se sentiront juste détendus, d’autres auront peine à garder les yeux ouverts. En fait, il revient à chacun de juger s’il est en état de monter à cheval ou pas. Être tendu comme un arc sur sa monture est également dangereux.

Ce qui est certain c’est que l’équitation génère de la peur, de l’angoisse, de l’appréhension, mais que pour la plupart d’entre nous, nous saurons trouver un moyen de dépasser celle-ci. La solution reste très personnelle, et chacun fait comme il peut avec les moyens qu’il a.

Cela dit si l’angoisse persiste au delà d’un délais raisonnable de quelques semaines ou mois, il faut peut être remettre en question la pratique de l’équitation ou la façon de la pratiquer, suis-je obligée de sortir en concours? Suis -je contrainte de monter sur tel cheval qui me fait peur? …..


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