Même si je trouve que cet article est bien fait, comme prise de conscience mais aussi pour souligner les dérives induites par certains acteurs proposant des solutions de m-Payment, je trouve cependant dommage que leurs auteurs aient pris des raccourcis, et surtout ne mentionnent pas que la plupart des solutions sont beaucoup plus contrôlées qu'il n'y parait dans ce document.
Je pense aux obligations demandées par les autorités accordant les licences de monnaie électronique aux opérateurs de paiement. A titre d'exemple, les montants transférables sur comptes anonymes sont souvent limités à 20 ou 30 euros selon les pays, des règles claires obligent la déclaration d'une identité notamment par rapport à un compte bancaire dûment vérifié, la traçabilité, le droit de regard des autorités existe bien évidemment, etc.
Même si certains acteurs du mPayment ne viennent pas du monde bancaire, c'est bien là l'illustration que les banques ont toute la légitimité nécessaire pour limiter ce genre de dérives. Vos commentaires ?