Après la première partie déjà pas top top, Soderbergh se lance dans le seconde partie (la vie du Che après son départ de Cuba pour mener la guérilla en Bolivie). Remarquons au passage que cela permet d'éviter de parler de la période sombre post révolution cubaine et de son passage en Angola...
Et c'est terriblement... long ! Del Toro est toujours très bon dans le rôle mais le film fourmille de scènes aussi inutiles que mal filmées ! Sans parler de la bande son (que ce soit les dialogues ou la musique) qui semble avoir subit un lavage à la javel ! Pas de vie, pas d'émotion, rien...
La seule scène qui vaille la peine se trouve au bout de plus d'une heure quarante cinq de film : quand le Che est arrété.
Prenant encore moins de recul historique que dans la première partie, se contentant de relater la vie du Che comme celle d'un demi dieu grec, Soderbergh sert un produit prémaché qui permettra encore longtemps à quelques personnes de se dire "guevariste et libertaire" sans se rendre compte de l'incompatibilité de la chose...
A voir sur un écran de télé, avec l'accecélération rapide ...
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble