Si vous saviez comme je commence a en avoir assez de ces Awards bidons.
Non pas ceux de skynetblogs, puisque je termine finaliste sur 1500 blogs pré-nommés et je le répète, SEUL BLOG CINEMA, mais les Razzies, "couronnant" les pires navets du cinéma américain, les Gerards l'équivalent français, et maintenant les "Brutus" l'antithèse des Césars, distinguent les films français très malades, les nanars flamboyants, et les chefs-d'oeuvres périssables, sans oublier les acteurs et actrices dans Le Rôle de composition, celui de leur vie, qui ne tient plus à grand chose après cela. Et puis, last but certainly not least, les "Bidets d'Or" tellement peu intéressants ceux là, que je ne me souviens plus de ce que c'est. Donc, pour en revenir aux Brutus, du nom de l'Empereur Romain, cette cérémonie qui récompense les navets français se déroule comme toutes les autres, une fois par an, ouf heureusement! ! A noter les deux nominations pour Benoit Magimel, vachement en perte de vitesse en France. ET celle de Michael Schumacher, qui loin des circuits, ne casse pas trois pattes à un canard.
Le jury, anonyme et mystérieux, est composé de « quelques anonymes heureux et discrets, amoureux du cinéma en général et du cinéma français en particulier ». Les trophées sont « une décompression, un objet d'art absolument inutile qui fera très beau au-dessus d'une cheminée ».
Et puisqu'au début je vous disais que n'aime pas tous ces awards, ce qui suit en 1 et 2, en sont la raison principale. C'est du grand n'importe nawak. On se fout vraiment de la g...des cinéphiles.
1. Brutus de la Meilleure Participation Exceptionnelle
Gérard Lanvin pour Mesrine - L'ennemi public numéro 1
Le fantôme pour La frontière de l'aube - Le gros orteil pour Inju, la bête dans l'ombre Line Renaud pour Bienvenue chez les Ch'tis -Muriel Robin pour Musée haut, musée bas
2. Brutus de la Meilleure Prestation Technique
L'île pour La possibilité d'une île - La mèche de François Sagan pour Sagan
Le nez de Gérard Depardieu pour Babylon A.D. -Le titre pour Soit je meurs, soit je vais mieux -Le sport pour Astérix aux Jeux Olympiques
Brutus du Meilleur Film
Astérix aux Jeux Olympiques, de Frédéric Forestier et Thomas Langmann
La possibilité d'une île, de Michel Houellebecq
Inju, la bête dans l'ombre, de Barbet Schroeder
J'ai toujours rêvé d'être un gangster, de Samuel Benchetrit
Le voyage aux Pyrénées, de Jean-Marie et Arnaud Larrieu
Brutus de la Meilleure Actrice - Ariane Ascaride pour Lady Jane
Sabine Azéma pour Le voyage aux Pyrénées -Emmanuelle Béart pour Vynian
Catherine Deneuve pour Je veux voir -Laura Smet pour La frontière de l'aube
Brutus du Meilleur Acteur - Louis Garrel pour La frontière de l'aube -Benoît Magimel pour Inju, la bête dans l'ombre -Benoît Magimel pour La possibilité d'une île -Pierre Palmade pour Sagan - Lambert Wilson pour Dante 01
Brutus de la Révélation de l'Année - Benjamin Biolay pour Didine -Cali pour Magique -Pierre Lescure pour Musée haut, musée bas -L'ours pour Le voyage aux Pyrénées -Michael Schumacher pour Astérix aux Jeux Olympiques
Brutus du Meilleur Film Etranger - Quantum of Solace, USA -Australia, Australie
Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal, USA -Sex and the City, USA -Maradona by Kusturica, Espagne
Brutus de la Meilleure Affiche Le Crime est notre affaire -L'emmerdeur -Hello Goodbye -Mes amis, mes amours -Musée haut, musée bas