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A l'heure où je vous cause (18h30) un parfum douceâtre et piquant couvre le centre ville, c'est l'odeur si subtile et cactéristique des gaz lacrymogènes lancés en fin de manifestation et souvent à tir tendu, sur des personnes de tous âges qui s'étaient rassemblées devant la sous -préfecture. La vue des casques policiers a mis le feu au poudre et l'importante manif bon enfant de l'aprés- midi s'est soudainement transformée en affrontement, pavés d'un côté, matraques et lacrymos de l'autre...