C’est un premier pas vers l’identification de l’horloge alimentaire. Des chercheurs français et suisses, viennent, en utilisant le Chronobiotron, de mettre en évidence les premières bases moléculaires de l’anticipation de l’heure des repas. Le responsable? Un gène déjà impliqué dans les mécanismes circadiens, dont l’expression dans le cerveau et les organes périphériques varie tout au long de la journée. Ces travaux, qui pourraient engendrer de nouvelles pistes curatives pour les maladies métaboliques telles que le diabète ou l’obésité…
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