Le Photographe est un animal protéiforme : amateur, artiste, artisan, journaliste, industriel, esthète, formateur, auteur, consultant, metteur en scène, galeriste, scientifique, publiciste, aventurier, philanthrope, ermite, marketeur, écrivain, passionné, passionnant ... Cela vous semble un joyeux charivari de personnages, et pourtant, il y a autant de métiers différents dans la photographie qu'il y a de Photographe.
Autrefois, avant de signer le contrat du Photographe, il fallait savoir dans quelle case on allait nous ranger : artisan ? auteur ? commerçant ? Malheur à toi, Photographe qui ne voulait pas rentrer dans un de ces trois moules !
Aujourd'hui, le gouvernement nous fait un très joli cadeau : le statut d'auto-entrepreneur ! je ne reviens pas sur ce qu'il apporte à tout un chacun, d'autres sites mieux renseignés en disent plus que moi. Ce statut magique permet enfin à l'animal Photographe de faire tout ce qu'il veut avec son talent ! Le Photographe peut changer d'objectifs comme il change d'objectif. Le photographe peut être formateur, éditeur, consultant, artiste, commerçant, auteur, artisan... tour à tour ou tous en même temps !
Mais le Photographe est un être fragile et sensible, il se questionne, s'interroge. Voici donc pour le Photographe inquiet, un début de réponse, en défrichant les mauvaises idées sur l'auto-entreprise ...
- Le Photographe auto-entrepreneur ne paye pas ses charges sociales 2/7
- Le Photographe auto-entrepreneur ne crée pas d'emploi 3/7
- Le Photographe auto-entrepreneur travaille "au noir" 4/7
- Le Photographe auto-entrepreneur ne respecte pas la déontologie 5/7
- Le Photographe auto-entrepreneur est une concurrence déloyale pour le Photographe artisan 6/7
- L'auto-entrepreneuriat pour le Photographe, finalement, ça ne change rien 7/7
Ici, sur ce blog :
Auto-entrepreneur : le point de vue de l'artiste
Auto-entrepreneur : découverte d'un nouveau statut
Ailleurs, sur la toile :
Le site de l'Auto-Entrepreneur