Alors que je me débats entre le manque de sommeil, la production astronomique de couches sales du petit crampon, et son besoin quasi permanent d'être bercé dans nos bras, que je m'accroche au fol espoir d'une amélioration dans les mois qui viennent parce qu'après tout on ne peut pas décemment espérer que les parents arrêtent tout simplement de dormir sous prétexte qu'ils se sont reproduits, si ? (non, dites non, par pitié), pof, je tombe sur ça :
Je me revois il y a quelques mois, et j'imagine ce que j'aurais pensé : rhôôôô que c'est mignoooooon !
Là, allez savoir pourquoi, j'ai surtout l'angoisse qui monte, pire que pendant la visualisation de Shining ou Misery....
NB : je reviens bientôt (enfin, j'essaye), pour vous raconter plusse mieux comment c'est de cohabiter avec un crampon. Mignon, certes, mais crampon, tout de même.