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Une ou plusieurs ? / How many stories at once ?

Publié le 28 janvier 2009 par Dangelsteph
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J'ai déjà parlé de l'intérêt des bases de données d'histoires : on ouvre le tiroir, et voilà on a l'histoire adéquate à tout problème. Evidemment, ça ne marche pas comme ça.

D'ailleurs, même quand on dispose d'une pléthore d'histoires, en marteler quelques unes (voire une seule) est préférable. Communication = répétition, c'est une des règles de base.

C'est aussi le discours que tient le consultant John Caddell, dont j'ai déjà parlé plusieurs fois. Il tire ses conclusions de ses rencontres avec le CEO de Procter&Gamble, A.G. Lafley.

Donc, quelques messages simples (sous forme d'histoires) répétés encore et encore sont plus efficaces qu'une formule type "le message du mois". Car, chacun sachant bien que le message-mot d'ordre d'aujourd'hui ne sera pas celui de demain, personne dans l'entreprise (à part les lèche-bottes et les naïfs) ne s'impose l'inutile travail de mettre son comportement en adéquation avec la formule du jour.
Mieux : certains cadres se sont spécialisés dans le "faire comme si", vraiement on s'y croirait, sans rien en faire en réalité.

La recette d'A.G. Lafley : ce qu'il appelle des histoires simples comme celles de "Rue Sésame", sous forme de slogans répétés, répétés, répétés...
En ce qui le concerne, ces "Sesame Street - simple" tournent tous autour de "la focalisation" (focus) sur ceci, cela... mais bien-sûr, tout est ouvert.
Même des évolutions, au bout d'un moment.

Text in english :

L'article original de John Caddell

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