En novembre 2006, le navire de Greenpeace, l’Esperanza, croise sur cette partie des océans hors des routes de navigation et, constate l’ampleur des dégâts : une accumulation de tonnes de plastiques favorisée par l'absence de vent et qui forme la Grande plaque de déchet du Pacifique*, amèrement baptisé le septième continent.
Source : dailymail.co.uk