En étudiant l’orientation des minéraux de roches lunaires n’ayant jamais été percutées par des météorites, une équipe américaine a montré qu’il y a 4,2 milliards d’années, la Lune devait posséder un champ magnétique important. Un champ magnétique persistant qui, comme sur Terre, résulterait de la convection d’un noyau liquide, peut-être constitué de fer.
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