Ainsi, François Bayrou votera la motion de censure déposée par les socialos. Bien lui en fasse.
A l’entendre, c’est lui-même qui aurait proposé en premier un plan de relance.
« Deuxièmement, je proposais une aide aux familles modestes, un livret d'épargne crise, dont le montant pourrait atteindre 1000 euros ».
C’est quoi un livret d’épargne crise ? Un truc pour que les types qui n’ont pas de pognon puissent le mettre à gauche en leur évitant de consommer bêtement des produits inutiles ?
« Premièrement, je plaidais pour un grand emprunt européen de l'ordre de 3 % du PIB. »
Oui. Il vaut mieux faire l’emprunt au niveau de l’Europe… Ca nous évitera d’atteindre une dette de 70% du PIB ?
Trêve de plaisanterie. François Bayrou arrive à justifier en quelques lignes la nécessité de censurer la politique en place : « "les atteintes aux libertés se multiplient de façon infiniment inquiétante." "On est à un tournant, assure-t-il. Au début du quinquennat, certains pouvaient soutenir que ces entorses étaient seulement une question de style. Aujourd'hui, c'est une question de textes : on fait entrer dans la loi et dans les institutions des manquements qu'aucun républicain et aucun démocrate ne doit pouvoir accepter." »