Plus 500 échantillons ont été présentés, soit une augmentation de 10% par rapport à l'année précédente (course à la médaille comme signe de crise?).
J'ai eu la chance de tomber à une table où les vins se goûtaient bien. Sous la présidence d'Emile Jung, nous avons noté à l'aveugle 12 vins venus de France et d'Allemagne.
Les vins étaient servis par ordre croissant de sucres résiduels (de 2g/l, 11g/l, 40 g/l, 60 g/l, 120 g/l et jusqu'à 195 g/l).
Je m'étonne de ce choix de vins sur une même tablée. Inévitablement les vins avec plus de sucres résiduels et plus de "Watt" auront tendance à être plus naturellment retenus pour la sélection finale du prix d'excellence. J'aurais aimé déguster que des riesling secs 100% terroir...
En se prêtant tout de même au jeu du concours, nous avons sorti deux vins du lot (bien sûr les noms nous ont été révélé par la suite):
- Riesling Bollenberg 2005 de chez Braun François & Fils (no. 379)
- Riesling Auslese 1999 Erben von Beuwiltz (no. 385)