La grande boucle est bouclée, notre candidat préféré (ndlr. oui je sais, à la rédaction on a tendance à préférer les candidats condamnés… on mise sur les chevaux gagnants, pas sur les vieilles carnes) va enlever les petites roues et enfiler le maillot jaune.
Benoît Poelvoorde est passé en danseuse pour le sprint final, la conduite ne lui réussissant définitivement pas (voir l’analyse de sa candidature). C’est la dernière étape de son parcours, et on attend une victoire à l’arrachée, l’hiver ayant déjà fait ses premières victimes. Mais c’est dans le sprint final qu’on reconnait les vrais champions, ceux qui ont l’étoffe des héros. Benoît passera brillamment de la “petite reine” au candidat “élu du Nécroblog”… sans dérailler ! (ndlr. La rédaction en profite pour saluer Michel Drucker, spécialiste de la discipline).
Analysons sa candidature :
Signes précurseurs
- Roi de la route, il suit la trace de son père routier (décédé) et enchaîne les accidents de voiture (ndlr. on peut dire qu’il fonce droit dans le mur)
- Benoît Poelvoorde est en plein burnout et craque
- Après les tours jumelles de Manhattan… Monsieur Manatane serait menacé.
- Absences à répétition : Sur des projets en préparation ou même en cours de tournage, Benoît Poelvoorde a plusieurs fois fait faux-bond.
- A rejoint le jury de Miss France et se trouve donc dans la tourmente des scandales de Geneviève de Fontenay.
Facteurs aggravants
- Son entourage, Benoit Poelvoorde est ami avec l’acteur Jean-Claude Van Damme qui lui aussi est en bout de course comme en témoigne l’affiche de son film JCVD.
- Son éducation chez les jésuites aura eu raison de sa foi et de son foie… alcoolisme quand tu nous tiens…
- Les fans… une véritable menace quant on fait un film culte sur un tueur sanguinaire.
- Dépressif, il est interné en unité psychiatrique sur sa demande (ce qui n’est pas plus rassurant)