C'est sûr, c'est certain, le Haricot a hérité de la tuyauterie paternelle. Et ça y est, quand la taupe est prête à s'élancer du haut du toboggan, il réclame le pot. Même qu'il se retient tant qu'on
n'a pas ôté chaussures et pantalon (à oilpé, et puis c'est tout.) :D
Bon de quoi me plains-je? Le haricot rit aux éclats quand sa production brise le plastique, et il ne cherche pas à se lever à tout bout de champ. Oh ça non, il réclame le "livre" (un magazine à
portée de main), qu'il feuillette longtemps, longtemps...
Il adoooooore le pot. Quand il y est, il y reste. Un peu comme son père. Et même s'il a fini, car plus rien ne sort vu qu'il a posé trois bouses et deux pipis, Il refuse de quitter son pot, malgré
les hourras de la foule, les promesses de chocolat, l'exhibition de téléphone portable, et j'en passe.
Et là, c'est le drame. Il pleure si on le retire de force de son pot d'amuuuuuuuuuuuur.
A part le "y'a pu" et "c'est fini" (rejettés par un non sans appel) j'avoue que je me trouve un peu en mal de vocabulaire pour lui expliquer qu'avec son tuyau, dans le meilleur des cas, il y a au
moins deux jours d'intervalle pour lui.