Le commerce en ligne est assez récent comme moyen de distribution. Il y a donc des adaptations à faire dans divers secteurs afin que cela soit efficace. Tout d’abord, il y a eu des améliorations au niveau de la sécurité. Le sceau SSL, une garantie pour le consommateur que le site appartient bien au serveur, et que ce n’est pas du “Phishing”. Ensuite, cela assure l’encryptage des données personnelles lors de l’achat. La vente en ligne est assez récente au Québec, et malheureusement, plusieurs mythes durent par rapport au risque relié à l’achat en ligne. Il est clair que le risque 0 n’existe pas, en ligne, sur la rue, dans votre auto, etc., mais l’amélioration des systèmes de sécurité fait que ce risque est très minime.
De plus, avec le Web 2.0, les internautes peuvent communiquer sur des blogues, forums, etc. où tout abus ou fraude est relaté.
Les institutions doivent aussi s’adapter. Il y a eu d’ailleurs des lois au Québec, par l’Office de la protection du consommateur et en France, avec plusieurs lois, dont celle d’afficher le TTC (Tout frais compris).
Néanmoins, les gouvernements Québécois et Canadiens sont très en retard pour promouvoir les commerçants en ligne. En fait, seulement 8% des entreprises ont un commerce en ligne. Il est certain que plus il y a aura de choix en ligne, plus les gens auront envie d’acheter en ligne, moi la première! Il faut aussi que les boutiques en ligne soit efficaces et reproduisent le plaisir d’acheter que nous avons en magasin, pas toujours évident! Des produits bien présentés, avec la description, prix, politiques de retours, de livraison, etc.
Tout un défi pour les commerçants, car ouvrir une boutique en ligne représente autant sinon plus de travail que d’ouvrir une succursale. Comme le phénomène est récent, vendre en ligne s’apprend et n’est pas aussi facile que l’on pense!