Sommaire :
- L'emprise diabolique d' Israël passe par les médias,
par Eva
- La doctrine israélienne du ravage, article de mondialisation.ca
- Sélection de liens
Vigilance !
L'emprise diabolique d' Israël
passe par les médias, par Eva
Mes amis,
Je choisis de porter à votre connaissance un article de mondialisation.ca, "la doctrine israélienne du ravage", à lui seul il suffit à démontrer la monstruosité de cet Etat que les blogueurs qualifient de plus en plus de "cancer", de "sida" de l'humanité. Quel sentiment éprouver en lisant ces lignes ? Le dégoût ? Le mot est trop faible. Car l'entité israélienne est épouvantablement maléfique, à Gaza comme dans le reste du monde, en programmant l'enfer pour tous les pays qui ne se soumettent pas à la dictature militaro-financière qui s'étend peu à peu sur la planète. Un continent comme l'Amérique Latine sait : Les gouvernements favorables aux intérêts des peuples, comme celui du Chili, ont été renversés et remplacés par des dictatures. En sous-mains, Israël, puissance ravageuse, implacable, une sorte d'entité supra-humaine qui se permet tout, le pire surtout, dans l'impunité la plus totale. Avec ses alliés américains, et maintenant européens - avec des dirigeants comme Sarkozy, "leur homme".
Les méthodes d'Israël sont ignobles. Personnellement, je ne pourrai plus jamais entendre prononcer le mot Israël, Shoah, sans l'associer au Mal que fait cet Etat dans le monde, sans qu'aucune voix de dirigeants ne s'élève, au contraire, avec des agents comme Sarkozy, il est récompensé en recevant pour prix de ses forfaits le rehaussement de sa présence en Europe, afin de l'influencer de l'intérieur et au final, de la broyer dans des aventures impériales qui feront le malheur des peuples.
Je propose non seulement un boycott absolu des produits (qui commencent par 729) de cet Etat "diabolique" , il n'y a pas d'autre nom, mais aussi des protestations à chacune de ses commémorations : La pire Shoah, c'est celle que vous imposez aux peuples de la planète, à Gaza la martyrisée d'abord, ensuite aux quatre coins du monde, en organisant une stratégie de la tension, en dressant les peuples les uns contre les autres, en suscitant partout conflits et guerres, comme en Yougoslavie, dans le Caucase, en Amérique Latine, en Afrique, etc.
Si vous lisez mon blog R-sistons à la désinformation, http://anti-fr2-cdsl-air-etc.over-blog.com , vous verrez que je consacre de nombreux articles à France 2, totalement investi par le CRIF, au service des intérêts ultra-sionistes dans le monde.
J'ai mis le doigt sur un chancre, et une honte : La colonisation de France 2, et plus généralement des médias, par cette entité dont le programme est de sacrifier les peuples à ses intérêts militaro-financiers.
Et c'est grâce à cette colonisation des médias par les ultra-sionistes que nous sommes désinformés en permanence, que nos esprits sont anesthésiés chaque jour au bénéfice de l'Empire dont les intérêts sont radicalement opposés à ceux des peuples, que nous nous habituons au pire, que nous compatissons aux prétendus malheurs de ceux qui, en réalité, conçoivent en particulier toute la casse sociale, que nous sommes conduits à voter pour des individus qui serviront les intérêts des Usraéliens, comme Sarkozy l'anti de Gaulle, et pire encore, que nous allons un jour, avec Marie Drucker la va-t-en-guerre, nous enrôler "pour la patrie" sous la bannière du drapeau américain et israélien, contre la moitié de l'humanité, de l'Iran à la Chine en passant par la Syrie, la Russie, etc...
Vigilance ! La pieuvre américano-israélienne étend ses tentacules sur le monde pour l'enserrer, prendre le contrôle de chaque vie et l'anesthésier, l'asservir, en faire de la chair à canon, et cette emprise passe d'abord par la main-mise sur les médias qui chaque jour nous disent comment penser, c'est-à-dire en fait contre tous nos intérêts. Et c'est ainsi que nous avons voté pour celui qui est en train de casser toutes les valeurs françaises, toutes ses spécificités, aussi bien sociales qu'en matière de politique étrangère. Sarkozy est le fossoyeur de la France, et... des Français. Au seul bénéfice de l'Empire qui SE SERT DE NOUS pour accroître sa puissance démoniaque sur le monde.
Plus que jamais, il faut espérer en des pays comme la Russie, la Chine, l'Inde, qui, loin d'être nos ennemis, représentent un futur contrepoids à l'entité diabolique qui entrave la vie des humains. C'est pourquoi les médias s'acharnent contre eux : Afin, là encore, de nous amener à penser dans l'intérêt de ceux qui, au final, programment les politiques et les guerres qui nous broient toujours davantage.
Vous voyez l'enjeu des médias ? Ils sont le criminel instrument de nos malheurs. Ne vous étonnez pas si, aujourd'hui, France 2 ou C dans l'Air nous parlent de "sarkomania" à l'heure où la colère monte dans le pays, de la Shoah comme référence absolue afin de nous faire accepter l'intolérable, de l'Iran, la Russie et de la Chine comme des puissances dangereuses, et des USA, qui en ont fini avec l'ère Bush et vont ouvrir de nouvelles pages de bonheur pour les peuples avec le souriant Obama, en réalité façonné en sous-mains par les stratèges d'un Ordre Mondial totalitaire, au seul service des secteurs militaro-financiers.
J'insiste, chers lecteurs, pour vous amener à réaliser à quel point les médias sont utilisés contre nos intérêts, en étant colonisés par les pires ennemis de nos vies : Israéliens, et Américains. N'acceptons pas de voir nos pensées modelées par d'autres.
Et pour vous rappeler que ce qui se joue à Gaza est en réalité le premier acte, monstrueux, d'une tragédie planétaire qui nous concerne tous. Les stratèges des politiques et des guerres actuelles ne reculent devant rien lorsqu'il s'agit de grossir l'épaisseur de leurs portefeuilles et d'accroître leur emprise sur la planète. Les Palestiniens en sont les victimes les plus pitoyables. Leur résistance à la Shoah programmée par ces monstres israéliens à visage humain, est un acte qui doit non seulement être salué, mais devenir modèle pour le monde s'il ne veut pas sombrer dans la barbarie avec les apprentis sorciers israéliens et américains de la planète, secondés par de nombreux dirigeants et par les médias criminels.
La vraie terreur n'est pas là où on veut nous le faire croire.
Eva
En ce moment, je regarde Envoyé Spécial sur FR2-télé sioniste : Un reportage sur la guerre de Gaza, pour en réalité exonérer Israël de ses actes criminels ! "Le Hamas a choisi de combattre au milieu des populations civiles, il faut dire la vérité, la volonté de l'Armée est d'épargner les civils, les vidéos prouvent que les civils sont épargnés, et que les bavures sont liées à la présence de combattants, l'armée israélienne est morale, etc....". Pure propagande ! Média pourri, FR2 la pire honte de nos médias !
TAGS : Shoah, Israël, Gaza, Etats-Unis, Europe, Iran, Russie, Chine, Ordre Mondial, NOM, FR2, C dans l'Air, médias, Sarkozy, Marie Drucker, de Gaulle, Syrie, l'Empire, CRIF, Yougoslavie, Caucase, Chili, Afrique, Amérique Latine, Bush, Obama...
La doctrine israélienne du ravage
par Jonathan Cook
22 janvier 2009
Dans les derniers jours avant qu'Israël impose un cessez-le-feu unilatéral à Gaza pour éviter d’embarrasser la future administration Obama, ce pays a renforcé son agression, poussant ses troupes plus profondément dans la ville de Gaza, intensifiant ses tirs d'artillerie, entraînant le déplacement de milliers d'autres personnes.
La stratégie militaire d'Israël à Gaza, même dans ce que ses responsables ont appelé l’« acte final » poursuivait un plan établi lors de la guerre du Liban, il y a plus de deux ans.
À cette époque, en un mois de frappes aériennes intenses, Israël avait détruit une grande partie de l'infrastructure du Liban. Même dans les dernières heures de la guerre, alors que le cessez-le-feu était en cours de finalisation, Israël a lancé plus d'un million de bombes à fragmentation au Sud Liban, apparemment dans l'espoir de rendre la région aussi inhabitable que possible.
De même, la destruction par Israël de la Bande de Gaza s’est poursuivie avec une vigueur acharnée jusqu’au tout dernier moment, même si, selon des articles dans les médias israéliens, l'armée de l'air avait épuisé ce qu'elle appelait sa « collection de cibles du Hamas » dès les premiers jours de combat.
Les militaires ont éludé le problème en élargissant la définition des immeubles affiliés au Hamas. Ou, comme un haut fonctionnaire l’a expliqué : « Il y a de nombreux aspects concernant le Hamas, et nous essayons de les frapper dans leur intégralité, car tous sont lié et tous soutiennent le terrorisme contre Israël. »
Cela a permis d’inclure dans les cibles les mosquées, les universités, la plupart des bâtiments gouvernementaux, les tribunaux, 25 écoles, 20 ambulances et plusieurs hôpitaux, aussi bien que les ponts, les routes, 10 centrales électriques, les égouts, et 1500 usines et 1500, ateliers et magasins.
Les responsables de l'Autorité Palestinienne à Ramallah évaluent les dégâts jusqu’ici à 1,9 milliard de dollars, en faisant remarquer qu’au moins 21.000 immeubles résidentiels ont besoin d’être réparés ou reconstruits, ce qui pousse une fois de plus 100.000 Palestiniens dans des camps de réfugiés. Par ailleurs, 80 pour cent de la totalité de l'infrastructure agricole et des cultures ont été détruits. L'Autorité Palestinienne a précisé que son estimation est « prudente. »
Israël ne regrettera rien de tout cela. En fait, loin d'être des dommages collatéraux malchanceux, la dévastation généralisée était l'objectif implicite de l'offensive. Israël, tout comme les militaires, ont cherché cette politique de neutralisation du Hamas par la destruction généralisée des infrastructures et de l'économie de Gaza.
Cette politique est connue sous le nom de « Doctrine Dahiya, » du nom d'une banlieue de Beyrouth, pratiquement rasée lors de l'attaque d'Israël contre le Liban en été 2006. Cette doctrine a été résumée dans une phrase de Dan Halutz, chef d'état-major d’Israël à l'époque. Il a dit que le bombardement du Liban pourrait le « faire retourner 20 ans en arrière. »
Le commandant du sud d'Israël, Yoav Galant, s’est fait l’écho de ces sentiments le premier jour de l'offensive sur Gaza : l'objectif, a-t-il dit, c’est « d'expédier Gaza à des décennies dans le passé. »
Au-delà de ces petites phrases, Gadi Eisenkot, chef du commandement du nord d'Israël, a clarifié en octobre les aspects pratiques de la stratégie : « Ce qui est arrivé dans le quartier de Dahiya à Beyrouth en 2006 arrivera dans tout village sur lequel Israël tirera. Nous emploierons une force disproportionnée contre eux et nous provoquerons là-bas beaucoup de dommages et de destructions. De notre point de vue ce ne sont pas des villages civils, ce sont des bases militaires. Ce n'est pas une recommandation. C’est un plan. »
Dans l'interview, le général Eisenkot parlait de la prochaine reprise des hostilités contre le Hezbollah. Cependant, cette doctrine a été aussi conçue pour servir dans la Bande de Gaza.
Gabriel Siboni, un colonel de réserve, a exposé le nouveau « concept sécuritaire » dans un article publié par l'Institut des Études sur la Sécurité Nationale de l'Université de Tel Aviv, deux mois avant l’attaque contre Gaza. Les stratégies militaires conventionnelles pour faire la guerre contre les États et les armées, écrivait-il, ne peuvent pas vaincre les mouvements de résistance du socle national, comme le Hezbollah et le Hamas, qui ont des racines profondes dans la population locale.
L'objectif est plutôt d'utiliser la « force disproportionnée, » de façon à « infliger des dommages et de mettre en face d’un châtiment d’une ampleur telle qu’il exigera de longues et coûteuses procédures de reconstruction. »
Le colonel Siboni a reconnu, comme les « décideurs et l'élite au pouvoir, » que la principale cible du déchaînement d’Israël comporte les « intérêts économiques et les centres du pouvoir civil qui soutiennent l’organisation [ennemi]. »
Le colonel Siboni a concédé que, le mieux que puisse espérer Israël contre le Hamas et le Hezbollah, c’est un cessez-le-feu dans des conditions favorables pour Israël, et de repousser la prochaine confrontation en laissant « l'ennemi se démener dans de coûteuses et longues procédures de reconstruction. »
Cependant, dans le cas de la longue reconstruction de Gaza, Israël a dit espérer ne pas répéter les erreurs du Liban. À l’époque, le Hezbollah, avec l'aide de fonds iraniens, a encore renforcé son prestige dans la population locale en avançant rapidement le financement de la reconstruction des maisons libanaises détruites par Israël.
Selon les médias israéliens, le Ministère des Affaires Étrangères a déjà rassemblé un groupe de travail pour « le lendemain, » afin d'assurer que ni le Hamas ni l'Iran n’apportent de crédit pour la reconstruction de Gaza.
Israël veut que toute l’aide soit acheminée par l’intermédiaire de l'Autorité Palestinienne ou d’organismes internationaux. Le bouclage de la Bande de Gaza, pour empêcher la contrebande à travers les tunnels sous la frontière avec l'Egypte, fait partie intégrante de cette stratégie.
À la grande satisfaction d’Israël, la reconstruction de Gaza risque d'être encore plus lente que ce à quoi l'on aurait pu s’attendre.
Les diplomates font remarquer que, même si l’aide occidentale afflue vers l'Autorité Palestinienne, elle aura peu d'effet si Israël maintient le blocus, freine les importations d'acier, de ciment et d'argent.
Et les donateurs internationaux ont déjà signalé être fatigués de financer des projets de construction à Gaza seulement pour les voir détruits par Israël peu de temps après.
La semaine dernière, manifestant bien plus que de l'exaspération, le Ministre des Affaires Étrangères de Norvège, Jonas Gahr Stoere, a résumé l'opinion générale des bailleurs de fonds : « Donnerons-nous encore une fois pour la construction de quelque chose qui est détruit, reconstruit et détruit ? »
Texte original en anglais, Israel’s Doctrine of Destruction, Bombs to ‘send Gaza back decades’,
publié le 21 janvier 2009.
Traduction: Pétrus Lombard.
http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=11960
Gaza