Ma naiveté, mon insouciance, et ma croyance en un monde unique, où tout le monde penserait comme dans "La petite maison dans la prairie" m'ont trompé.
Ce n'est ni la première, ni la dernière, mais cette fois à ça m'a coûté cher...en objets sentimentaux...
J'étais tranquillement assise à la table d'un bar, à 4, et nous avons passé la soirée à discuter de tout, de rien. Sauf que quelqu'un avait décidé de me pourrir la soirée en me dérobant mon sac à main...
Ehhh oui, celui qui contenait entre autres,
- mes clés d'appart et l'adresse pour y aller
- mon lecteur MP3 avec de la musique que je n'avais nulle part ailleurs...
- mon porte monnaie chéri du Mexique
- toutes mes cartes bleue
bref, l'extasse totale et je vous passe le reste...
Mais le moment où ça devient du viol, c'est lorsque le voleur vous a dérobé votre petit carnet, celui où vous notez toutes ces chaleureuses pensées ou ces petits moments, joyeux ou moins joyeux, qui vous ont marquée.
Et là je me dis que j'aurais peut être mieux fait de coucher mes pensée sur un clavier (par exemple ici) plutôt que sur un calepin qui a pu être lu de la planète entière... dur dur cette sensation.
Alors surtout, soyez surpris de la gentillesse des gens...un vigile de nuit a pris sur lui pour nous emmener au commissariat et à la maison en voiture alors que ça ne faitsait pas vraiment partie de ses attributions...Lui, j'ai envie de lui dire merci !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Et puis, sinon, à part cette douleur sentimentale, comme on dirait avec Luis :no pasa nada...