Cinq à sexe- Janet Evanovich
Éditions Payots & Rivages- 406 pages.
La semaine s'annonce chargée pour Stéphanie Plum. Au programme et dans le désordre : remettre la main sur l'Oncle Fred avant que sa femme ne dilapide cinquante ans d'économie domestique.
Identifier le propriétaire d'un corps découpé en morceaux. Se débarrasser d'un nain ombrageux qui a élu domicile chez elle. Échapper aux griffes d'un boxeur psychopathe qui a rencontré Dieu en
prison. Trouver l'argent du loyer sans risquer sa peau en acceptant les missions spéciales que lui confie Ranger, son trop séduisant mentor. Dénicher LA petite robe noire pour vamper Morelli, le
flic le plus sexy de la ville.
A priori, rien d'insurmontable pour la tonitruante et désopilante Stéphanie Plum.
Stéphanie Plum est chargée de rechercher son oncle Fred, disparu alors qu'il voulait régler un problème avec la société de ramassage des ordures ménagères. Mais l'affaire se
révèle beaucoup moins simple qu'il n'y paraît. Pour couronner le tout, elle est poursuivie par un dangereux boxeur psychopathe qui la destine à rencontrer Dieu...
Heureusement, qu'elle peut compter sur le soutien de Ranger, son mentor, qui lui propose de bosser pour lui, afin de pouvoir venir à bout de son loyer et de ses factures. Mais attention danger
! Ranger est de plus en plus attirant, et son charme ne laisse pas indifférent...
Une fois de plus, j'ai passé un excellent moment avec miss catastrophe qui enchaine les mésenvatures, et dont les voitures explosées ne sont que routine. Elle est aidée dans sa tache par la
pétillante Mamie Mazur, qui n'hésite pas à prendre en photo dans son cercueil un mort qui s'est fait sauter la tête (je vous laisse imaginer la scène)...
Et pour mon plus grand plaisir, elle est entourée de Joe Morelli et de Ranger, qui rivalisent de sexytude... *soupir*
Extrait :
- "- J'ai vu comme il te regardait, dit Lula. Et je sais que ses collaborateurs, comme tu dis, il les regarde pas comme ça. Je crois que t'as vraiment besoin qu'il t'explique le profil de ton
poste. Pour moi, tu me diras, ça changerait rien. Si je pouvais ne serait-ce que toucher le corps de ce mec, putain, mais c'est moi qui lui achèterais une Porche !" (page 292).
Décidément, je ne m'en lasse pas !
A suivre...